samedi 16 octobre 2010

Observations du samedi

Il est d'un étonnement constant que de constater à quel point le temps désinvolte peut passer vite. Le samedi en est un exemple flagrant: déjà 19h30, toujours rien de planifié sinon de persister et signer l'extinction de ce vin italien. Nonobstant, il est déjà plus agréable d'écouler mon temps ainsi que d'étudier cette grammaire espagnole, malgré le soutien de Monsieur Chat.

Dans les faits, les samedis sont faits pour se reposer. Forcément je n'ai rien à en dire, puisque je n'en ai rien fait. À peine me couvrir d'un chandail, pour ne pas avoir à sentir les courants d'airs trop fréquents et à épargner à mon colocataire une vue de par trop "choquante". En fait je le soupçonne de s'en foutre éperdument.

Une chance que cette fidèle amie la télévision, et ses sempiternels films nuls du samedi soir, sont là pour combler ma solitude.

Merde des fois quand je regarde les pubs jsuis contente de pas porter des lunettes.

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