vendredi 26 novembre 2010

première neige...

Le fait d'avoir failli me ramasser les quatre pattes en l'air ce matin m'a enfin confirmé la venue de l'hiver. En effet, chaque année, l'hiver vient. Et avec la venue de l'hiver, c'est la venue de la neige, c'est la venue du froid qui glace, des lèvres gercées, des mitaines perdues, des chocolats chauds, mais surtout, oui, surtout, c'est la venue de NOËL!

Je suis une fan inconditionnelle de Noël. Pourtant, j'ai peu de raisons de l'être. À mon âge, je ne reçois plus de cadeaux. Le seul party de Noël auquel je sois invitée, année après année, est celui de ma famille paternelle. Je suis apostasiée, donc le petit jésus pis les anges, c'est pas pour moi. J'ai jamais aimé le magasinage. Jamais aimé la dinde non plus (la morte, pas la vivante).

Néanmoins, j'ADORE les lumières de Noël! Ça met de la magie, même en avril! Noël est une formidable excuse pour rester chez soi et s’empiffrer jusqu'à plus faim. On voit toujours de bons films avec Adam Sandler à la télé dans le temps des fêtes. À Noël, on n'a pas d'examens, pas d'école, et pour les chanceux comme moi, pas de travail non plus. Le temps de Noël est idéal pour envoyer des courriels et des cartes à ces amis qui sont si loin mais qu'on aime tant. On peut même faire des séances de photos cocasses avec les chats et Justin Trudeau. Quoi de mieux que de faire jouer Casse-Noisette de Tchaikovsky à tue-tête en buvant un bon verre de vin? Quoi de mieux que de s'emballer dans les édredons et de manger une énième orange en chocolat qu'on doit préalablement casser par terre?

Sérieux, Noël, je t'aime.

Demain: Pourquoi je hais le jour de l'an.

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